jeudi 28 mars 2013

10 détails qui prouvent qu'entre vous, c'est sérieux




On se rencontre, on se cherche, on se drague, on s’enflamme et hop, nous voilà embarqués dans l’aventure des amoureux. Et puis doucement, sans même qu’on s’en rende compte, l’histoire grandit, prend forme et se développe. Jusqu’au jour où de petits détails, souvent très petits même, viennent nous rappeler que cette fois, c’est du sérieux. Inventaire.


Le jour où il (elle) vous a préparé un sandwich sans cornichons


Parce qu’évidemment, vous n’aimez pas les cornichons. Mais ça, vous vous gardez bien de le dire au début d’une relation, ça fait quand même pas très glam’. Mais le temps a passé (ah bon ?) et voilà qu’il (elle) retire amoureusement les cornichons de votre sandwich au poulet. C’est beau l’amour.

Le jour où il (elle) a acheté une brosse à dents rien que pour chez vous


Un détail, vous croyez ? Non, un symbole. La brosse à dents cristallise à elle toute seule toutes les peurs et autres phobies de l’engagement. En installant sa brosse à dents près de la vôtre sur le lavabo de la salle de bain, il (elle) trahit sa confiance dans votre avenir. Et vous dit à demi-mot « Et si on s’installait ensemble ? ».

Le jour où vous l’avez surpris(e) en train de vous regarder dormir 


En voilà, un détail qui en dit long. Regarder quelqu’un dormir est un geste rempli d’amour, un geste qui trahit aussi une peur de se faire démasquer. Et si, pris(e) en flagrant délit, il (elle) vous assure que vous aviez un cheveu sur le nez, laissez-le (la) parler. La vérité, c’est qu’il (elle) est accro.

Le jour où il (elle) a dit « nous » en parlant d’avenir  


Il (elle) ne s’en est même pas rendu compte, mais quand il (elle) a évoqué la maison de ses rêves ou ses projets à très long terme, il (elle) a dit « ce sera une aubaine pour nous » et « nos enfants pourront grandir dans une grande maison »… La preuve qu’il (elle) n’envisage pas l’avenir sans vous. Même inconsciemment.

Le jour où son neveu (que vous ne connaissez pas) vous a appelé(e) par votre prénom 


Son neveu n’a que 4 ans et pourtant, quand il vous a rencontré(e) pour la première fois, il a crié votre prénom en sautant dans vos bras. Nul doute, chéri(e) parle de vous à tout le monde et surtout à sa famille. C’est bien connu, la vérité sort de la bouche des enfants.

Le jour où il (elle) a fait toutes les pharmacies de garde de la ville pour vous trouver des médicaments


Vous l’avez appelé(e) du fond de votre lit, un dimanche, « enrubé(e) », fiévreuse et flagada… Une heure plus tard, il (elle) était là avec des médicaments, de la soupe et un câlin gros comme ça. Même pas peur de l’attraper, ce sale virus.

Le jour où il a mangé du blanc de poulet pour vous laisser sa cuisse


Le blanc de poulet, il (elle) déteste ça : trop sec, il (elle) vous avait dit. Pourtant, le jour où sa mère (c’était un déjeuner de famille) a pris la cuisse et qu’il n’en restait plus qu’une, c’est à vous qu’il l’a servie. Et lui (elle), il (elle) a mangé du blanc. Et ça, y’a pas photo : c’est de l’amour.

Le jour où vous vous êtes disputés pour une broutille 


Vous n’avez jamais remarqué que les couples ne se disputent jamais au début d’une relation ? Et non, ce n’est pas parce qu’ils s’aiment, c’est juste parce qu’ils font bien attention à ce qu’ils disent et à ce qu’ils font, et qu’ils sont encore en phase de séduction. Mais l’amour, le vrai, celui de tous les jours, il est servi avec son lot de disputes et d’engueulades en tout genre. En particulier les petites querelles de rien du tout. Qui aime (bien) châtie bien…

Le jour où il (elle) vous a fait un double de sa clé


Il (elle) vous l’a donné(e), comme ça, au détour d’une conversation : « Ah, tiens, je t’ai fait un double, ce sera plus simple comme ça… », mais s’il en a tout l’air, ce geste-là n’a rien de pragmatique. Ce geste-là est une invitation à entrer dans son cœur, ce geste dit « je crois en nous » et « je te fais confiance ». La clé du bonheur ?

Le jour où il (elle) vous a dit « je t’aime »… dans son sommeil


Il y a des « Je t’aime » qu’on prononce dans le feu de l’action, des « Je t’aime » qu’on prononce pour faire plaisir ou parce qu’on y croit un peu. Et puis il y a celui-là : le « je t’aime » qui nous échappe, qui nous transcende, le « je t’aime » sorti du fin fond de l’inconscient. Et celui-là, il ne ment pas.